lire le livre Dépucelage par mon beau-père au championnat du monde: Gay, relation interdite, première fois

Dépucelage  par mon beau-père au championnat du monde: Gay, relation interdite, première fois

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Titre original:Dépucelage par mon beau-père au championnat du monde: Gay, relation interdite, première fois
Taille:7802KB
Évaluation:
Type:PDF, ePub, Kindle
Catégorie:Livre
Téléchargé:2020 Oct 1

Marc a toujours aimé la compétition. Mais quand il découvre le ski nautique, cela devient une drogue, et à force d'entrainement il arrive à se sélectionner pour les championnat du monde. Son beau-père qui a économisé pendant longtemps, l’accompagne. L’excitation de la compétition est a son paroxysme mais le beau-père de Marc à une énorme surprise qui va faire monter encore un peu plus l’adrénaline…Extraits:Tout est arrivé lors d’une de nos nombreuses vacances en famille autour du lac d’Annecy. J’avais déjà essayé le ski et le snowboard à la neige, mais quand j’ai vu des gens en ski nautique décoller à une hauteur folle en s’aidant d’une rampe flottant sur le lac, j’ai eu un déclic et je me suis dit, : « Marc, c’est exactement ce que tu dois faire. » malgré la peur et l’appréhension, j’ai décidé d’essayer. Ma famille pensais que j’avais des idées suicidaires, mais j’étais déterminé....C’est à ce moment-là qu’il m’avait dit :-écoute Marc, je serai toujours là pour toi, j’ai économisé pas mal d’argent pour pouvoir te suivre sur tes compétitions et je pense que je vais t’accompagner et m’occuper de toi pendant les championnats du monde.J’avais posé une main sur son épaule tout en lui disant :-Je ne veux pas que tu dépenses ton argent pour me suivre. Tu pourras me regarder sur Internet ou à la télé.Mon beau-père avait secoué la tête et m’avais répondu :-Tu vas avoir besoin d’un maximum de supports et je serai là pour te soutenir jusqu’à ce que tu remporte la médaille d’or.J’avais ri en répondant que les chances pour que je me qualifie au tour finale sont vraiment très mince.-Ne sois pas modeste Marc. J’ai vu tous tes trophées, et je t’ai vu voler dans les airs beaucoup plus loin que tous les autres. Si quelqu’un peut réussir, c’est bien toi.Des larmes étaient apparues dans mes yeux, et un frisson d’émotion m’avait parcouru.-Je vais faire de mon mieux !...Après quelques minutes en bus, il s’arrête devant l’hôtel de mon beau-père. Le restaurant en question se trouve à deux pas et j’attends mon beau-père dans le hall d’entrée de l’hôtel. Lorsque j’entends retentir la petite sonnette de l’ascenseur qui annonce l’ouverture des portes, je me retourne et j’aperçois Tom : il est habillé d’un jean noir assez près du corps et d’une chemise blanche très cintrée qui met en valeur tous ses muscles. Sa démarche est féline on s’approchant de moi. Il est vraiment super sexy avec ses cheveux bruns, ses yeux verts et sa prestance.Je n’ai jamais eu de petite amie car mes compétitions me prennent tout mon temps. De plus, mon coach m’avait toujours dit que le fait d’avoir une petite amie était vraiment un frein pour la carrière d’un grand sportif. De toute façon, je ne suis pas tellement attiré par la gente féminine. Je ne sais pas depuis quand, mais ce que je trouve le plus attirant, ce sont les garçons bien bâtis....Je ne l’ai jamais considéré comme quelqu’un qui pourrait m’attirer, mais ce soir c’est différent. Ce voyage, ce restaurant si chic, l’excitation de la compétition et surtout la lumière dans ses yeux, embrume mon cerveau et fait naître de nouvelles émotions au creux de mon estomac. J’espère qu’il ne le remarque pas car je sens que chaque fois qu’il me sourit, mes joues deviennent toute rouges et j’ai du mal à le regarder dans les yeux.Après ce délicieux repas, je le raccompagne dans le hall de son hôtel et nous nous disons au revoir. Je ne le reverrai pas avant deux jours car je dois m’entraîner et me concentrer sur mes sauts.-Est-ce que tu veux monter boire un verre dans ma chambre ? Me demande Tom avec un grand sourire....je me ressaisis, car je sais qu’il ne faut surtout pas je commence à me laisser envahir par ce sentiment d’envie et de désir que me procure mon beau-père. De plus, Ce n’est pas le moment de se laisser distraire de son objectif.